jeudi 21 mars 2013

Contenu Web : réduire parfois plus difficile que créer

Billet publié sur le site d'Isarta


Vous avez créé une série de capsules pour le site Web de votre entreprise présentant chaque membre de la haute direction. Ces capsules sont bien réussies, dynamiques et toute la direction applaudit votre travail. Le contenu circule ensuite sur l'intranet et dans le bulletin électronique de l'entreprise.

Vous venez probablement de marquer plusieurs points et vous pouvez faire un crochet sur votre liste de projet.

Votre tâche suivante, celle-ci de votre propre initiative : faire une veille et réduire le contenu du site Internet. Vous y passez plusieurs semaines. Vous relisez les contenus, analysez du mieux que vous pouvez les performances du site et les données que vous avez en main sur sa fréquentation, etc. Au final, vous avez identifié une dizaine de pages qui mériteraient d'être revues et une autre dizaine qui mériteraient d'être supprimées pour différentes raisons. Avant de supprimer ces dernières, vous communiquez avec les responsables de ce contenu dans les différentes unités de votre entreprise. La négociation est parfois ardue. Vous recevez certaines objections. « Un client m'a demandé une information contenue dans cette page la semaine dernière et je ne savais où le diriger ailleurs que sur cette page ». « Cette page nous est bien utile à l'interne lorsque nous conseillons des clients au téléphone ». « Je préfère garder cette page, au cas où ».

Après une bonne négociation, vous réussissez toutefois à avoir gain de cause. Vous terminez également le reste du travail sur les autres pages. Après quelques semaines, vous avez supprimé plusieurs pages inutiles et apporté des améliorations subtiles, mais qui, vous l'espérez, auront un impact sur l'expérience en ligne de vos clients et aussi sur le référencement de votre site.

Vous venez probablement de rendre un grand service à votre entreprise et à vos clients. Toutefois, vos efforts risquent de ne pas faire grand bruit.

À la demande de différentes personnes à l'interne, vous auriez créé des dizaines de pages de contenu et tout le monde aurait été content. Réduire et optimiser le contenu est pour moi une tâche qui peut s'avérer ingrate. Elle passe inaperçue de la majorité et peut même déplaire à certains. Il est important au départ que vos patrons comprennent bien l'importance de cette tâche et que vous puissiez aussi leur présenter des résultats après coup.

Pour certains, un site s'améliore à mesure que du nouveau contenu est créé. Mais si votre nombre de pages vues et le temps passé sur le site par visiteur augmentent sans cesse, est-ce toujours une bonne chose?    

jeudi 1 décembre 2011

Avoir le sens du timing dans ses communications sur les réseaux sociaux

Billet publié sur le blogue d'Isarta

Beaucoup de facteurs entrent en ligne de compte quand il est question de l’efficacité de nos communications. Un facteur souvent négligé est le moment où celles-ci sont envoyées.

On vient de recevoir l’approbation finale pour une infolettre ou on vient d’apprendre une nouvelle intéressante à diffuser sur Twitter, et quelques minutes plus tard, le message est envoyé. Le moment où un message est envoyé est toutefois déterminant quant à sa portée.

Bien choisir l’heure et la journée


Selon des
données présentées par Dan Zarella chez Hubspot, le meilleur moment pour publier sur Facebook serait le week-end, aux environs de midi. Pour ce qui est des envois courriel et Twitter, la fin de semaine ferait aussi partie des moments privilégiés pour publier.

Ces données semblent rejoindre la logique. Facebook n’est certainement pas le meilleur endroit pour publier en plein jour de semaine, alors que plusieurs gens, au bureau, n’ont même pas l’autorisation d’y accéder. En soirée, ils se connecteront, mais votre message sera déjà en concurrence avec des d’autres beaucoup plus récents.


Plus important que ces données, il faut bien connaître les habitudes de son auditoire, et également choisir le moment de diffusion en fonction de la teneur du message. Si vous vous adressez à des étudiants, par exemple, leur horaire et leurs habitudes de consommation des médias sociaux peuvent différer de celui d’un auditoire plus âgé.


Des premières minutes déterminantes

De ma propre expérience, les heures, sinon les minutes qui suivent l’envoi d’un courriel et d’un message sur les réseaux sont déterminantes. Souvent, la moitié des clics ou autres actions à la suite d’une publication sont réalisés dans la demi-heure suivant l’envoi, et l’autre moitié dans la journée suivante.


Certaines études appuient ces constats, dont celle de
bit.ly, qui évalue la demi-vie des contenus courriel, Facebook et Twitter à environ 3 heures.
Une étude de Momentus Media, quant à elle, évalue que
50% des clics sur les statuts Facebook ont lieu dans l’heure qui suit la publication.


Des outils simples et gratuits à la rescousse


Des outils comme
Hootsuite et ses publications planifiées vous éviteront d’avoir à rédiger certaines publications le soir ou la fin de semaine. Avec un bon calendrier de publications, vous pourrez donc prévoir certains envois. Cependant, si vous devez diffuser les résultats d’une partie de football, malheureusement, vous ne pourrez le planifier!

D’autres outils existent pour mesurer l’efficacité d’une publication et la réaction de votre auditoire à celle-ci.
Bit.ly, par exemple, vous fournie le nombre de clics sur ses liens minute par minute.

Sur Twitter,
plusieurs outils existent pour déterminer les meilleurs moments de publication, tandis que Facebook Insights peut vous orienter à savoir quelle journée semble la plus propice pour envoyer un message.

lundi 24 octobre 2011

Pour ceux qui n'avaient pas vu la pub du Festival de magie de Québec

Aller plus loin avec Facebook et les iframes

Billet publié sur le site d'Isarta

Outre les onglets de base disponibles sur les «fan pages» de Facebook, plusieurs ont sûrement déjà remarqué qu’il est possible de créer des onglets personnalisés. Au départ, ces onglets pouvaient être créés à l’aide du FBML (Facebook Markup Language), le langage maison de Facebook.

Facebook a progressivement laissé tomber le FMBL au profit d’une autre approche plus simple et intéressante, le iframe. Ce changement est une bonne nouvelle pour les développeurs, puisqu’il permet maintenant l’utilisation du HTML, CSS, JavaScript et autres outils utilisés pour le web.

Le concept du iframe est simple : il s’agit d’un bout de code permettant de visualiser et d’interagir avec une page à l’intérieur d’une autre page (une page Facebook dans ce cas).
Si ce changement de cap de Facebook est une bonne nouvelle pour les développeurs, il en est de même pour les gens de marketing.

En effet, presque tout ce qui est possible de faire dans les pages d’un site web standard est maintenant réalisable sur Facebook.

Des exemples d’onglets personnalisés


1. MailChimp, l’entreprise spécialisée dans le marketing par courriel, offre un exemple intéressant d’onglet personnalisé. Sur leur page d’entreprise, il est en effet possible de s’inscrire directement à leur infolettre. Une belle façon de convertir les fans de leur page.
2. Starbucks, une des entreprises ayant le plus de succès sur Facebook (plus de 24 millions de fans), a intégré une application permettant à ses fans de rechercher et postuler sur des emplois offerts au sein de la compagnie.
3. Sur la page de la compagnie aérienne Delta, il est possible de réserver ses billets d’avion. Un bel exemple qui montre ce qui est maintenant possible de faire avec une page Facebook.

Que réserve l’avenir


Alors que plusieurs pages Facebook sont plus visitées que les sites web des entreprises, il est intéressant de voir qu’il est maintenant possible d’aller plus loin dans l’interaction et la personnalisation offerte au sein du réseau social le plus populaire du monde. Il sera d’ailleurs bon de voir quels avantages offriront les pages d’entreprises de Google Plus et comment les deux géants rivaliseront sur ce point.

Cinq outils pour mieux comprendre votre site web

Billet publié sur le blogue d'Isarta

Google Analytics

Bien peu de gens ne connaissent pas cet outil de statistiques et d’analyse de trafic. Même s’il possède plusieurs concurrents, Google Analytics reste pour plusieurs raisons une solution très intéressante. Gratuit et simple à installer, l’outil continue d’évoluer et d’offrir de nouvelles options d’analyse. Depuis peu, Google Analytics permet de connaître le temps de chargement des pages de votre site et offre également une nouvelle section «Social».

Crazy Egg

Crazy Egg compte plusieurs ressemblances avec Google Analytics par rapport aux données qu’il fournit. Moins complet, il s’agit plutôt d’un complément qui ne peut remplacer Google Analytics (ou un équivalent) à lui seul. Parmi les données recueillies, on compte le temps passé avant un premier clic, les clics sur des éléments non cliquables ou encore la proportion d’utilisateurs ayant visualisé une portion spécifique d’une page.

Crazy Egg a aussi l’avantage de fournir des rapports simples et conviviaux. Intéressant lorsqu’on veut présenter ses données à des gens ayant peu de temps pour les analyser.
L’installation d’une portion de code est nécessaire afin de pouvoir recueillir des données.

Hubspot Websitegrader

Cet outil gratuit et ne nécessitant aucune installation génère un rapport sur le référencement de votre site. Celui-ci vous fournira certaines données sur les titres, le nombre de liens ou le niveau de langue utilisé. Difficile cependant de garantir l’exactitude de certaines données du rapport. Il reste toutefois que celui-ci est très utile pour toute personne désirant mieux comprendre les paramètres liés au référencement d’un site.

Google Trends

Autre service offert gratuitement, il permet de comparer les tendances des volumes de recherche de certains termes dans le moteur de recherche Google. Il permet de consulter ces données par pays ou encore par période de temps. C’est entre autres l’occasion de tester quel mot, parmi un ensemble de mots ayant une signification semblable, est le plus souvent cherché. Vous pourrez également analyser de quelle façon ce mot est habituellement écrit dans Google (pluriel ou singulier, avec accent ou sans accent). Vous pourrez ensuite faire des ajustements au besoin.

Google Optimizer

Une fois que vous aurez collecté assez de données sur votre site et que vous en aurez fait l’analyse, vous voudrez probablement y apporter certaines modifications. Il peut alors être intéressant de tester ces changements avant de les mettre en place. C’est ce que vous permet de faire Google Optimizer, par le biais de test A/B ou multivariés. Après avoir recueilli et analysé vos données pour une page précise, vous pouvez alors fixer des objectifs pour cette page (diminution du taux de rebond, augmentation du taux de conversion, etc.). Testez ensuite différentes versions de cette page et établissez laquelle répond le mieux à vos objectifs.

mardi 5 juillet 2011

Buy in : Comment susciter l’adhésion à un projet

Billet publié sur le site d'Isarta

Plusieurs d’entre vous ont probablement déjà élaboré un projet en lequel vous avez cru. Un projet solide qui ne s’est malheureusement pas réalisé en raison d’une opposition trop forte envers celui-ci.

Comment auriez-vous pu obtenir l’appui nécessaire à sa réalisation en tirant avantage de cette opposition? C’est le sujet du livre Buy In.

Coécrit par John P. Kotter, professeur bien connu de l’Université Harvard et Lorne A. Whitehead, professeur à l’Université de Colombie-Britannique, l’ouvrage se base sur plusieurs recherches et études de cas.

Il ne s’agit pas d’un livre traitant du leadership en général ou encore du pouvoir d’influencer, mais plutôt d’un guide offrant des conseils afin de répondre de façon claire et efficace aux objections (légitimes ou non) soulevées envers un projet quelconque.

Les auteurs y expliquent tout d’abord que la multitude de questions ou d’attaques contre un projet peut être classée en quatre grands groupes, incluant entre autres toutes les attaques favorisant l’instauration de la peur (Et si nous perdions le contrôle?) ou encore toutes celles visant à miner la crédibilité du porteur du projet ou de son équipe (Votre proposition ne fait pas mention de tel point, y avez-vous songé dans votre analyse?).

Ensuite, Kotter et Whitehead dévoilent leur méthode afin de tirer avantage des objections dirigées contre un projet. Des réponses types sont également suggérées afin de répondre à 24 des oppositions les plus communes.

Que peut-on retirer de ce livre?

Peu importe la qualité d’un projet, vous risquez de rencontrer des objections. Il ne faut pas les éviter. Au contraire, celles-ci ont le bénéfice d’attirer l’attention sur vous et votre idée. Si vous réussissez à bien leur faire face, vous gagnerez davantage d’adhésion. Et afin de bien y répondre, soyez clair et précis et évitez les réponses trop longues ou complexes risquant de semer la confusion. Également, peu importe les intentions des opposants au projet, ne tombez pas dans le piège de la condescendance ou du manque de respect. En fin de compte, ils vous seront peut-être très utiles afin de faire accepter vos idées par une majorité.

Buy In ne contient évidemment pas de formule magique. Au départ, tout projet demande du travail et la présentation de celui-ci n’est qu’une étape parmi d’autres. Toutefois, si vous rencontrez régulièrement de l’opposition au sein de votre organisation, cet ouvrage peut se révéler un guide pratique afin d’éviter que vos idées soient mises à la poubelle.

En terminant, voici quelques objections que vous avez peut-être déjà rencontrées et pour lesquelles les auteurs nous suggèrent des arguments :

- Personne n’a jamais implanté ce genre d’idée, pourquoi nous?

- Ce projet ne fonctionnera pas ici, notre réalité est différente.

- C’est une bonne idée, mais ce n’est pas le bon moment.

- Nous avons tenté un projet semblable dans le passé qui n’a pas fonctionné.

samedi 11 juin 2011

Retour sur l’Usability Week (suite) : le mobile

Billet publié sur le site d'Isarta

Lors de mon dernier billet, j’ai fait un retour sur la formation Fundamental Guidelines for Web Usability, suivie dans le cadre de la Usability Week 2011, tenue il y a quelques semaines à Washington.

Je fais cette fois un retour sur une seconde formation suivie au cours de cette semaine et traitant cette fois de l’expérience utilisateur sur téléphone mobile.
Les conclusions rapportées plus bas sont le fruit de tests d’usagers menés par le N/N Group auprès d’environ 70 participants dans quatre pays (États-Unis, Royaume-Uni, Hong Kong et Australie).

Les tests d’usagers menés par le N/N Group nécessitent que les participants exécutent certaines tâches prédéterminées à l’aide de leur appareil mobile. Les participants choisis doivent posséder leur appareil depuis un certains temps pour être retenus.

Voici quelques-uns des points les plus intéressants de cette formation :

1. Pour quels types de téléphone doit-on développer?

En raison de plusieurs facteurs, notamment la taille et la résolution de l’écran ou encore de la difficulté à écrire, le taux de succès obtenu par les usagers utilisant un téléphone mobile standard (non intelligent) est nettement inférieur à celui des usagers utilisant un téléphone intelligent.

Combiné aux données de la firme Nielsen, qui montrent que de plus en plus d’usagers accèdent à Internet via un téléphone intelligent, cela fait dire aux consultants du N/N Group que selon eux, il est préférable de se concentrer sur le développement de sites et d’applications mobiles destinés aux téléphones intelligents, l’expérience risquant de toute façon d’être mauvaise pour les usagers utilisant un téléphone standard.

2. Les applications sont pour les utilisateurs réguliers

Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte lorsqu’on doit choisir entre le développement d’un site ou d’une application mobile.

Un facteur évoqué lors de cette formation est très simple à retenir : pour un nouvel utilisateur, le site mobile est recommandé, pour un utilisateur régulier, une application est généralement plus intéressante. Cette conclusion est très logique à mon sens, notamment parce que les sites mobiles peuvent être trouvés plus facilement, notamment par le biais des moteurs de recherche, ce qui n’est pas le cas pour les applications, qui elles, en revanche, sont beaucoup plus personnalisables et donnent ainsi une meilleure expérience lors d’une utilisation répétée.

Soyez proactifs : travaillez pour l’usager

Même si l’expérience sur téléphone intelligent est normalement plus intéressante que sur un téléphone standard, il reste qu’il est plus long de lire ou d’écrire sur ce genre d’appareil que sur un ordinateur standard. Pour cette raison, il est important de faciliter le plus possible l’expérience des utilisateurs. La géolocalisation ou la capacité d’une application à garder des données en mémoire peuvent par exemple éviter à un usager d’entrer plusieurs informations sur son appareil. À retenir lors de la conception d’un formulaire en ligne!

Les études détaillées du N/N Group sur le mobile sont disponibles sur leur site Internet.

mercredi 4 mai 2011

Retour sur l'Utilisability Week 2011

Article publié sur le blogue d'Isarta

Je suis tout juste de retour de la «Usability Week 2011» de Washington, formation donnée par le groupe Nielsen Norman, dont fait partie l’expert reconnu en ergonomie web : Jakob Nielsen.

Voici quelques points importants retenus lors du premier atelier auquel j’ai assisté : «Fundamental Guidelines for Web Usability»

Il est important avant tout de souligner que les données présentées lors de cette formation sont le résultat de différents tests (test d’usagers, test d’oculométrie, etc.) menés sur près de 4000 usagers partout à travers le monde.

1. Pas de changement significatif à noter quant au taux de satisfaction des usagers du web.

Sur ses 377 études menées au cours des 11 dernières années, le N/N Group n’observe pas de différence significative quant au taux de satisfaction des usagers par rapport aux sites Internet visités.

Même si les usagers sont en général de plus en plus expérimentés et que les sites sont de mieux en mieux construits, on peut penser en revanche que les usagers deviennent de plus en plus exigeants par rapport à ce qu’ils s’attendent à trouver sur le web en terme d’expérience.

2. Sur le web, les usagers ayant un niveau de lecture élevé ont tendance à «scanner » les pages qu’ils consultent.

Ayant notamment de meilleures aptitudes de synthèse, les usagers ayant un niveau de lecture élevé (niveau comparable à un étudiant du premier cycle universitaire) ont tendance à «scanner» les textes qu’ils lisent sur le web plutôt qu’à les lire en entier. De là l’importance de bien utiliser les titres, sous-titres, points de forme ou autres éléments sur lesquels ces lecteurs auront tendances à s’arrêter.

3. Les images et publicités simples sont celles qui attirent le plus l’attention.

Toujours selon les études du N/ N Group, les images présentant une seule personne ou un seul objet attirerait davantage l’attention que les images présentant plusieurs personnes ou images.

Du coté des publicités, celles faites en harmonie avec le style du site web où elles sont présentées attirent davantage l’attention. En revanche, les publicités animées ou celles ne contenant aucun texte attire l’attention de moins de 30% des usagers.
Pour en savoir plus sur ces études ou pour assister aux formations du N/ N Group, vous pouvez consulter leur site.

La formation « Fundamental Guidelines for Web Usability » est à mon avis utile si vous vous apprêtez à faire une refonte de site web ou simplement pour en améliorer certains éléments.

lundi 7 mars 2011

Trois nouveaux outils pour tirer davantage profit de LinkedIn

Year in review

Ce premier outil génère la liste de vos relations de premier niveau ayant changé de poste ou encore d’entreprise entre 2009 et 2011.

Cette liste est générée rapidement mais le tout serait plus conviviale s’il était possible de voir directement la nature du changement sans avoir à ensuite entrer dans les profils de chacun.


LinkedIn Skills

Suite à l’entrée d’une compétence particulière dans LinkedIn Skills, l’outil génère une foule de renseignements, dont une liste de personnes et de groupes ayant cette même compétence. Des postes à combler dans ce même champs d’expertise vous seront également accessibles.

Si l’outil sert à identifier les atouts que vous possédez, il peut également vous permettre de voir quels atouts vos compétiteurs possèdent.

Vous pouvez accéder à cet outil par l’adresse directe ou sous la rubrique « Compétences », dans le menu «Plus » de la barre de navigation LinkedIn.

À noter finalement qu’il vous sera possible d’ajouter ces compétences à votre profil.


InMaps

Peut-être plus amusant qu’utile, InMaps vous donne la possibilité de visualiser de façon originale votre réseau de contacts et les connections entre chacun de ses membres.

La compilation des données est passablement longue, spécialement si vous avez un grand nombre de relations. Le résultat est toutefois intéressant.

Il est requis d’avoir un minimum de 50 relations et un profil complété à 75% et plus afin de pouvoir utiliser l’application.
http://inmaps.linkedinlabs.com